by Laurent • 15 October 2008 • Non classé
Oui, oui, oui. Tout le monde le sait, je suis débordé. Mais, lorsque les nuits sont humaines, j’arrive à surnager. Et je traduis donc du Alastair Reynolds en attendant de trouver quelques demi-heures pour finir une nouvelle intitulée Nuit noire, sol froid. Pour une fois, je n’ai pas utilisé un titre en anglais (qui fait tant râler mon ami André-François), mais j’ai traduit le titre de la chanson de Blind Willie Johnson qui désigne aussi la nouvelle: Dark was the night, cold was the ground.
D’autre part, je ne lis plus. C’est officiel. Je survole Mad Movies ou SFX, picore dans les comics du mois (avec un retard démentiel) et il m’arrive de jeter un oeil sur des passages du dernier Naomi Klein lorsque le biberon chauffe (et ça va vite de nos jours).
J’ai réussi à mater l’épisode 3 de Fringe et un ou deux Entourage. L’objectif d’aujourd’hui est d’arriver à regarder un DVD avant de le ramener à la bibliothèque demain. Quel suspense…