• by  • 4 January 2011 • Non classé

    Je viens de relire Un homme nommé Chaos de Jonathan Lethem et je trouve que ça laisse de l’espoir pour les écrivains qui démarrent par des livres anecdotiques. C’est agréable, bien gaulé (malgré la trad pas serrée), mais pas vraiment un chef d’oeuvre. On est donc loin de Forteresse de Solitude (ça, c’est de la trad). A propos, j’aime bien le blog du frère de Lethem, premier rappeur blanc, selon la légende, et graffeur mythique de NY.

    Vu le début de Matrix, l’autre soir, que j’avais complètement oublié. Au-delà de la tonalité général Gibson meets Dick, c’est vrai qu’il y a pas mal de points communs plus précis avec Les Invisibles. Mais bizarrement, j’ai plus envie de relire Planetary, là, tout de suite.

    About