Une fois par an

Imaginez-moi comme un type bizarre, vivant reculé, coincé devant son écran d’ordinateur à malmener un clavier avec les idées étranges qui hantent son cerveau. En Guyenne, ou en Gascogne, ce n’est pas très clair, mais dans les Graves, assurément.

Avec Stéphane Melchior.

Et une fois par an, on me sort. On m’invite dans un festival pour aller parler à des gens et signer des livres. Et c’était ce week-end, donc.
Quatre jours aux Utopiales de Nantes où j’avais un planning plus que chargé (voir post précédent), auquel se sont ajoutés des séances de dédicaces, des tas de rencontres impromptues et même une émission de radio.
Une façon de faire le plein de discussion, d’enthousiasme, d’échange et de bêtises. Impossible d’évoquer tous ceux, vieux amis ou nouvelles têtes de moi inconnues, que j’ai croisé ce week-end, mais merci à tous. Que l’on se soit échangé trois mois (Julien Savès, je ne t’ai jamais retrouvé) ou que l’on ait parlé des heures, merci.
Et merci aux organisateurs de penser à ma santé mentale et de m’inviter parfois.

Avec Daryl Gregory (et Bernard, l’interprète).

Avec toute une bande pour parler de réalités gigognes.

J’ai piqué les photos sur le site d’ActuSF. Elles sont probablement de Marie Marquez (respect éternel).