by Laurent • 6 December 2004 • Non classé
L’adolescence, toujours l’adolescence. On en revient toujours là. Tout ce qui m’a touché à l’époque est plus fort, plus intime et rétospectivement “mieux” que tout ce que j’ai ou que je pourrai découvrir par la suite. Je sais pas pourquoi, mais c’est comme ça.
Et ceci en fait partie. Achetez ce disque. C’est beau. C’est triste, mais c’est beau.
J’ai un ami qui se désintègre et qui se transforme en génie. C’est beau. Je sais pas si c’est triste, mais c’est beau.
Le morceau de The Cure, Going Nowhere est beau. Triste, mais beau.