• by  • 10 October 2003 • Non classé

    American Splendor a une ambiance spéciale que j’aime bien. Rythme lent, musique jazz et travail de l’artiste sur lui-même (ça, c’est un truc qui m’obsède plus ou moins, mais dont je n’arrive à rien faire), bref un bon moment de cinoche. Les passages entre réalité et fiction sont bien négociés et deviennent parfois amusants (le personnage du pote d’Harvey Pekar que l’on croît exagéré, puis l’apparition du vrai gars: et non, ce n’est pas exagéré). Et puis ça donne envie de voir Revenge of the nerds.

    Tous les matins j’ai du mal à descendre l’escalier de la chambre vers la salle de bains, encore englué dans le sommeil que je suis. Un jour je vais me casser la gueule.

    Ben, ce matin, je me suis mangé la porte de la salle de bains et je me suis éclaté deux orteils. J’ai du mal à embrayer et je boîte comme un con.

    Comme un con…

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