by Laurent • 20 October 2003 • Non classé
28 piges dans ta face…
Read more →28 piges dans ta face…
Read more →C’est Robert E. Howard, le créateur de Conan. Trouvez pas qu’il ressemble à Muzard???
Read more →C’est la merde. On n’est plus payé et on en a marre. On va sans doute arrêter de bosser. Tant pis pour Gibbons. Et la balance cosmique frappe encore: j’ai reçu le treizième mois de Delcourt (notion à laquelle je ne suis pas habitué) et le chèque pour mon texte dans Passés recomposés. C’est...
Read more →Pour les fous qui veulent voir notre bien piètre prestation à la téloche, c’est ici. Hier, vu l’excellent Rosemary’s Baby, ou comment faire speeder à peu de frais. Il suffit de poster un type devant une cabine téléphonique au bon moment. Du grand art.
Read more →Putain, l’horreur, bloqué. Pas fatigué, plein de projets à entamer et à continuer, mais non, impossible de me lancer dans quoi que ce soit aujourd’hui. Que faire? Ecrire trois conneries sur ce blog et aller me nourrir des autres. Ouais, je vais aller éteindre l’ordi et ouvrir un livre.
Read more →Gigantic! Marrant et fun, ce truc là.
Read more →Enfin vu Pleasantville et c’est assez… plaisant. C’est pas mal, mais la fin devient trop démonstrative, trop hollywood alors que le début était plutôt fin. Dommage. Aujourd’hui, balade sur un marché gourmand. On a acheté du saucisson, du gâteau basque et du brebis, mais pas d’armagnac: trop cher. Snif…
Read more →Bon alors ok, on n’a pas été grandiose, mais merde, on est quatre, on a deux guitares, c’est pas pour que le son d’une des gratte ne passe pas. Sur deux morceaux, on n’entend pas Jean-Phi. Cet enculé d’ingé son n’a eu aucun respect pour nous. Fucking TV shit!
Read more →American Splendor a une ambiance spéciale que j’aime bien. Rythme lent, musique jazz et travail de l’artiste sur lui-même (ça, c’est un truc qui m’obsède plus ou moins, mais dont je n’arrive à rien faire), bref un bon moment de cinoche. Les passages entre réalité et fiction sont bien négociés et deviennent parfois amusants...
Read more →Je n’ai lu que la moitié du Endless Nights de Gaiman et de ses amis dessinateurs, mais je peux déjà dire que c’est un putain de bon livre. Chaque histoire est aussi puissante que ses nouvelles contenues dans l’excellent recueil Miroirs et fumées (qui resort en poche, d’ailleurs). Et puis, les gars qui dessinent...
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