• by  • 29 August 2006 • Non classé

    Peut-être qu’on n’en finit jamais avec ses obsessions.
    Je croyais m’être débarassé de Dick et presque de la Californie.
    Et puis je pitche une bédé (qui plait à tous ceux qui l’ont lu, même les plus difficiles) et je me retrouve plongé dans l’exégèse, la correspondance, la bio et les romans du barbu.

    Je n’en sortirai jamais.

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