• by  • 25 October 2006 • Non classé

    Le week-end dernier, sur la télé d’une chambre d’hôtel, je suis tombé sur la fin des Chroniques de Riddick. Le plan final est parfait: iconique, annonciateur, conanesque, magistral.

    Hier soir, c’est la fin du quatrième épisode de Heroes qui m’a bluffé. Pourtant rien d’exceptionnel, mais le sense of wonder bien amené fait toujours plaisir. En trois lignes de dialogues, tout un potentiel pour l’avenir de la série se révèle et est alléchant.
    C’est marrant parce que je suis sûr que je détesterais la même histoire si elle était traité en bédé. Il y a autant de clichés que d’idées originales, mais la sauce prend. Le fait qu’il s’agisse d’un programme télé avec ses codes et ses règles y est sans doute pour beaucoup. Reste que le nombre d’idées branques qui défilent par épisodes est plus que réjouissant.

    Un essai de Charles Stross.

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