• by  • 27 November 2006 • Non classé

    The Host est très étrange. Le film oscille entre le film de monstre, la satyre politique, le pur drame familial en effectuant des va-et-vient incessants entre tous ces genres. Les acteurs sont formidables, presque autant que la créature, et on est perpétuellement surpris. Ca change d’Hollywood.

    Tiens Hollywood, justement. L’autre, nous avons regardé un film à la télé, En Bonne compagnie, ça s’appelait, avec Dennis Quaid. Un récit d’initiation dans le monde de l’entreprise qui suivait pas à pas la structure du mythe du héros de Joseph Campbell (ou sa version abrégée à l’usage des scénaristes californien plus vraisemblablement). A tel point que le dernier plan du film montrait le héros, courant vers le soleil couchant, alors que son mentor lui annonçait sur son portable la naissance d’une petite fille. Regardez donc le plan final du dernier Matrix si vous ne voyiez pas de quoi je parle. Ou celui de l’épisode III.
    J’étais tout de même sidéré de l’utilisation de tels “trucs” dans un film de ce genre.

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