• by  • 5 November 2007 • Non classé

    Entre deux promenades en forêts et quelques grosses bouffes, j’ai eu le temps de lire ça et ça.
    Les deux étaient très bien.

    A un moment, nous roulions en Alsace et Patricia Kass s’est mise à beugler dans l’auto-radio. Finalement, l’esprit encore embrumé par le Gewurtz, je me suis dit que tomber sur Kass en ces lieux, c’était comme écouter Cabrel en Lot-et-garonne, Johnny Clegg en Afrique du Sud ou Sonic Youth downtown Manhattan, cette adéquation fortuite devient presque trop. L’épiphanie cède la place au dépaysement.
    Et de toute façon, Patricia Kass, n’importe où, c’est vite trop.

    Samedi, j’aurais bien aimé voir ça. Faute d’y avoir traîné mes guêtres, je laisse Rica raconter.

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