• by  • 27 November 2007 • Non classé

    Les critiques polies auraient dû me mettre la puce à l’oreille. Pourtant, je suis parti confiant, au cinoche, pour voir le dernier Coppola, L’Homme sans âge. La veille, j’avais baillé devant Le Dahlia Noir de De Palma et j’espèrais mieux.
    Au bout d’une demi-heure, il me tardait que cette “méditation sur le temps et le langage” s’arrête tant cette mise en image de fumeuses théories, globiboulga mystico-philisophique, est pénible à regarder.
    Heureusement que l’actrice principale (déjà vue dans Control et La Chute) est plus qu’agréable à l’oeil, elle. Reste que le temps ne passe pas vite devant un tel navet, pas assez mauvais pour qu’on puisse en rire (quelques dialogues sont dignes de Nanarland, toutefois), mais loin d’être assez bon pour qu’on préserve Coppola en n’osant pas avouer que son film est raté.

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