• by  • 8 December 2007 • Non classé

    Lu les Spirou de Frank Le Gall et de Yann/Tarrin.

    Aucun des deux ne m’a autant convaincu que le premier, signé Vehlman et Yoann.

    Le Gall s’emprête dans une histoire temporelle peu originale et le ventre mou du bouquin semble sans fin. On lutte pour arriver à la fin, sans avoir décroché un sourire.
    Celui de Tarrin n’hésite pas à afficher son rapport à Franquin, mais manque de pêche de de dynamisme. J’avoue avoir loupé les références à l’homosexualité de Spirou et il me semble même que le groom embrasse Seccotine. J’attends que l’angliche lyonnais m’explique.

    Je parlais du perso avec un pote scénariste qui me disait que Spirou était difficile à faire vivre, parce qu’il manque d’identité. Au contraire, cette coquille vide (il est encore plus que Tintin, à mes yeux) peut servir pour tout faire…

    Un chouette article de Vanity Fair sur Francis Ford Coppola.

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