• by  • 5 January 2008 • Non classé

    Hier, premier apéro dans un bar non-fumeur. Plutôt agréable de sentir le chorizo plutôt que la clope. Et moi non plus, je n’emmerderai plus personne avec mes cigares.

    Maté Idiocracy. Après une première moitié tordante et effrayante de réalisme et une deuxième partie très poussive, l’impression reste mitigée. Le film aurait pu être excellent. Aurait pû seulement.

    Niveau esgourde, je turbine avec le dernier Springsteen qui est vraiment formidable en attendant une chiée de CD qui devrait arriver par la poste.

    Noël oblige, je me suis fait un petit plaisir en m’offrant le Four novels of the fifties, l’édition dans la Library of America de quatre romans de Dick. Papier Bible, annotations. Le barbu est dans la Pléïade. Qui l’aurait imaginé il y a encore vingt ans?

    Le quatrième volume de Scott Pilgrim reste dans la même veine ce qui est à la fois sympathique et inquiétant. Avec les années, l’auteur ne semble pas progresser (un peu au niveau dessin, toutefois). La série reste agréable, mais moins bluffante qu’au début.

    Le bruit autour de la retcon de Spiderman est assez marrant. D’habitude, je ne suis pas les previews et autres débats à la con sur les super-héros, mais je dois avouer que là, je suis fasciné. En gros, les pontes de Marvel ont décidé de remettre Peter Parker dans le droit chemin: il retrouve son identité secrète, n’est plus marié, habite de nouveau chez Tante May etc.
    Et qu’ont-ils trouvé pour expliquer tout ça? Un truc scientifique? Un rêve (comme à la grande époque de Dallas)? Que nenni. C’est simplement Mephisto qui fait oublier tout ce qui s’était passé depuis un bail à tout le monde sur terre. L’explication donné par le rédacteur en chef concernant les détails est: “c’est de la magie”.

    Excelsior!

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