• by  • 15 August 2008 • Non classé

    J’ai réussi à tenir trois quart d’heure devant Frontières, une bouse mal écrite, mal jouée et enfilant plus de clichés que Cartier-Bresson pendant la libération de Paris.
    Quand le méchant nazi est apparu, mon doigt a glissé inconsciemment vers la télécommande pour réveiller mon cerveau du spectacle de ce vide absolu.

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