• by  • 5 June 2011 • Non classé

    Paul Banks, le chanteur d’Interpol, n’a pas seulement la nuque longue. Il a aussi une tonalité proche d’Ian Curtis et ne dit pas que des conneries (quand il ne résume pas ma pensée, comme ici):
    I’m talking about the point in my life when music became all. That time, like in ninth grade, doing homework with music on. Riding on the bus to school. Having music on and being on another planet because of something you hear. And then you get to live with it forever, hopefully. But when it first starts happening and when you’re transported by the music, all the records that interacts with that period of my life will always be the holy grail.


    J’ai écris un roman là-dessus. Vous le lirez peut-être un jour… ou pas. C’est tiré d’une interview d’Interpol dans la revue The Big takeover (courtesy of Pierre S.) dans lequel le groupe clame son amour pour Bob Mould et les Boo Radleys. Dans le même numéro, Mould dit qu’il adore le premier album de Charlotte Hatherley. Moi qui en ait toujours fait l’apologie en ces lieux, je jubile.
    Inutile de préciser que je me suis immédiatement abonné à une telle revue…

    Sinon, Lol est revenu. Voici un des morceaux qu’il a composé. Les paroles de Robert sont inspirées de Gormenghast.

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