• Chansons 2014

    by  • 16 December 2014 • Non classé • 0 Comments

    Sans ordre particulier, vingt-cinq de mes chansons préférées de l’année qui s’achève.

    Friends Forever de PS I love you
    Y’a pas, j’adore les types qui chantent aussi mal que moi. Entendu sur BBC6 en faisant la vaisselle, celle-ci.

    Don’t come back de Tony Molina.
    Non, ce n’est pas Weezer. Mais l’album (qui doit bien durer un quart d’heure) est dément. Avec en prime, une reprise de GBV déjà faite par Pull en son temps.

    Bent Nails de Nothing
    Pour ceusses qui aiment le Chouguez (copyright H.Bourhis), y’a pas eu de meilleur album que celui de Nothing cette année. Je vous épargne l’histoire dramatique du chanteur.

    Too true to be good des Dum Dum Girls
    Déçu par la sale compression de la version CD, mais restent quelques morceaux ultra-efficaces de pop de meuf. Je soupçonne le clip d’avoir été tourné en 91. Reviens Miki.

    Go Away de…
    Ah, si, c’est Weezer, avec Beth Consentino. J’aimerais qu’ils se contentent de morceaux dans ce style. Buddy Holly avec de la disto, quoi.

    Asylum de Jessica 93
    Ouais, bon, ça va, moi aussi je suis hype. D’ailleurs, j’écoute Jessica 93. Je me demande juste si sa boite à rythme s’appelle Dr Avalanche.

    Gunshot de Lykke Li
    Je préférais l’album précédent, mais il y a un ou deux titres au-dessus, dans celui-ci. Il me semble l’avoir entendu dans une pub. Ce qui achèvera de m’ôter toute street cred.

    Women of war des Pixies
    ILs ont voulu trop en faire, avec leur album. Une prod minimale, même avec une chanson qui casse pas trois pattes à un Breeder (offert lors d’un record store day) et l’esprit est retrouvé. Il suffirait que je produise le prochain disque pour que tout rentre dans l’ordre…


    Allez, Charles, prends ta guitare, la bande tourne.

    Killer in the street des Raveonettes
    Une scie comme on les aime, avec beat dansant, mélodie imparable et la petite pointe de distorsion qui va bien.

    Brooklyn Baby de Lana del Rey
    L’album est bien meilleur que le premier. Rien à dire, c’est clicheton, mais ça l’effectue.

    Possessed d’Eagulls
    Sales branleurs d’Anglais, baissez la réverb !

    Burning Land d’Appletop
    Un groupe français qui a dû écouter les mêmes disques que moi.

    Lipton Witch de Sunny Day Real Estate
    Allez savoir comment, j’étais jusqu’ici passé à côté de ce groupe. Etonnant, étant donné mon passé émocore. Bref, je suis complètement fasciné par tous leurs disques. Vraiment. Et il ont sorti un unique morceau cette année (avant d’arrêter peut-être pour de bon).

    Drown so I can watch de The Twilight Sad
    Pas loin d’être l’album de l’année en ce qui me concerne. Ça roule gentiment les “r”.

    Clearing, de Grouper.
    Un ligne de piano répétitive, angoissante, triste et minimale.

    Was it a dream de Marissa Nadler.
    De la folk hantée, sur le label de Robin Guthrie et Simon Raymonde (ça annonce la couleur).

    Dynamo de Johnny Marr
    Les meilleurs riffs de guitare de l’univers ? Ne cherchez plus, c’est ici. Johnny fucking Marr. (Un des serveurs historique du Palatium, pas le Chinois, l’autre, avait la même coupe de cheveux, je me demande ce qu’il est devenu).

    Kathleen de Lilac Daze
    Je ne sais pas exactement ce que ça me rappelle, mais un groupe d’avant 95, sans doute. Le genre de truc qui parle au gamin de 17 ans que j’héberge en moi depuis vingt ans.

    Nowhere de Gem Club
    De la dreamp pop qui évoque à la fois Brian Eno, MBV et Michel Colombier. En fermant les yeux, on verrait presque une pyramide dans le LA de 2019.

    Long Hair de Drowners
    De la pop comme seuls les rosbeefs peuvent en faire. Sans doute enregistré en 78.

    September girls de Sister
    Malgré le nom du groupe, ça ressemble plus à Siouxsie (ou à Warpaint, pour les plus jeunes d’entre nous) qu’à Big Star.

    Romance and Adventure d’Allo’ Darling
    Un groupe bien meilleur pour les singles que les albums. Vous vous souvenez des Catchers ?

    In Between de Sage
    Celle-ci est passé dans la voiture. La toute petite a failli chialer, derrière, dans son siège auto. Je me devais de la mettre dans la compil.

    Mandy get your mellon on, de Martin Carr (of Boo Radleys fame).
    J’ai toujours gardé beaucoup de sympathie pour ce songwriter, malgré le côte parfois trop beatlesque de ses morceaux. Rien ne remplacera jamais l’arrivée de la trompette dans Spaniard, mais à défaut…

    Et je n’ai pas trouvé de son pour The Lonely LP de The Vaselines qui n’ont pas perdu la main pour trousser des refrains enchanteurs.

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