• La Terre bleue de nos souvenirs

    by  • 26 June 2015 • Non classé • 1 Comment

    J’ai souvent entendu dire, d’une façon péjorative, d’un film qu’il était réalisé comme un téléfilm. Platement, sans grands égards pour la narration cinématographique. Ben, Jonathan Strange et Mr Norrell, c’est exactement ça. Réalisé comme un téléfilm. Le pilote a quelques scènes qui auraient pu être fortes, visuellement, et qui fleurent pourtant bon le samedi soir sur France 3. L’arrivée chez Mr Norrel. La scène avec les statues. La résurrection finale. Tout cela aurait pu être tellement bien. Mais non. Aucune création d’atmosphère, narration plan-plan. Les acteurs son bons, certes, mais la mise en image si poussive que je n’irais sans doute pas plus loin.

    Dans les librairies ces jours-ci, cet excellent roman d’Alastair Reynolds que j’ai eu l’honneur de traduire. De la SF optimiste, qui met l’accent sur l’Afrique et reste au plus près de ses personnages.

    Vous pouvez retourner travailler, maintenant.

    About

    One Response to La Terre bleue de nos souvenirs

    1. Pingback: L’homme qui valait trois milliards | Laurent Queyssi

    Leave a Reply

    Your email address will not be published. Required fields are marked *